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dc.contributor.advisorListhaug, Kjersti Faldet
dc.contributor.authorKjellmark, Maren Langen
dc.date.accessioned2021-09-24T18:35:25Z
dc.date.available2021-09-24T18:35:25Z
dc.date.issued2021
dc.identifierno.ntnu:inspera:82685385:22762815
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/11250/2781966
dc.description.abstractSelon plusieurs études récentes, les connaissances lexicales sont primordiales pour l’acquisition de la langue en général. Dans ce mémoire, nous allons examiner la taille du vocabulaire chez des étudiants du premier semestre d’études universitaires de français en Norvège. 16 étudiants âgés de 18 à 25 ans ont accompli trois versions différentes du test X-Lex (Meara et Milton, 2003). Chaque version du test contient 100 mots français ainsi que 20 mots inventés. Les vrais mots ont été sélectionnés parmi les 5000 mots les plus fréquents de la langue française. La moyenne était ensuite calculée ainsi que la distribution de connaissance selon les cinq bandes de fréquence. Nous avons aussi examiné lesquels parmi les mots inventés les participants ont indiqué qu’ils connaissent. Les mots inventés ressemblant aux vrais mots anglais sont les plus cochés. Les résultats font ressortir que les étudiants norvégiens connaissent en moyenne 2451 mots français. Ceci concorde avec l’estimation de la taille du vocabulaire nécessaire pour atteindre le niveau CECRL de maîtrise de langue A2. Les connaissances préalables recommandées pour étudier le français à l’université en Norvège est aussi le niveau A2. La taille du vocabulaire chez les étudiants en premier semestre d’études universitaires de français en Norvège est similaire à celle des étudiants anglophones dans des études précédentes. Une étude effectuée en Suède a suggéré que l’étendue du vocabulaire nécessaire pour arriver à une niveau de compréhension acceptable de trois textes littéraires qui sont au programme du premier semestre d’études de français. La connaissance d’entre 7000 et 9000 lemmes donnent une couverture (coverage) de 98%. Nos résultats et les similarités entre les programmes universitaires en Norvège et en Suède soulève la question de savoir si les étudiants norvégiens ont un vocabulaire suffisamment large pour lire et comprendre les textes qui figurent au programme.
dc.description.abstract
dc.language
dc.publisherNTNU
dc.titleLa taille du vocabulaire chez des étudiants de français au niveau universitaire en Norvège
dc.typeMaster thesis


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